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Jour de l’An à Konpirasan

 

Ce 1er janvier 2012 démarra d’une manière fort singulière puisque nous fûmes réveillés vers 8 heures par le facteur !

Être réveillé tôt un Jour de l’An ça fait drôle, mais par le facteur encore plus…

Mais bon, je ne vais pas trop me plaindre c’était un colis de mes parents, contenant entre autres choses nos cadeaux de Noël.

L’après-midi, il fut décidé d’aller à Konpirasan (a.k.a. Kotohiragū). Un lieu que j’adore, mais j’avoue, j’appréhendais un peu.

Moi qui ne suis pas fan des foules, je ne fus pas déçu.

Les photos suivantes se passent pour la plupart de commentaires.

Pour comparer, vous pouvez consulter mes deux précédents articles sur Konpira ici et .

 

 

 

 

 

 

 

Il y avait plusieurs Ema géants où l’on pouvait écrire ses vœux.

 

Le cheval blanc du Kami était vêtu pour supporter l’hiver.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Kotohira en contrebas

 

Sanuki Fuji

 

Le saviez-vous ? Les pièces de 1 yen flottent !

 

 

 

 

Bon je l’avoue, ce n’était pas aussi horrible que ça en à l’air, les foules japonaises sont moins stressantes que leurs équivalents occidentaux. Néanmoins, je n’ai pas du tout eu l’impression d’être à Konpirasan, c’est-à-dire d’observer le lieu, m’imprégner de son atmosphère. En fait, j’ai surtout eu la sensation de passer mon après-midi à regarder des gens marcher plus que toute autre chose. Et puis ensuite d’essayer de garder mes deux yeux intacts quand il s’est mis à pleuvoir. Pour une raison qui m’échappe, quand les Japonais tenant un parapluie me voient, ils lèvent leur parapluie, manquant de m’éborgner à chaque fois. Ils le laisseraient à hauteur normale (i.e. plus bas que mes yeux la plupart du temps) il n’y aurait pas de problème, mais là du tout, les baleines passent toujours un peu trop près et dangereusement de mes yeux.

Bref, il me tarde le printemps pour retourner à Konpira dans de meilleures conditions.

 

4 commentaires sur “Jour de l’An à Konpirasan”

  1. Une journée bien particulière donc, tant en foule que pour la date, qui se finie presque d’ailleurs (dingue ce décalage horaire, avec internet on s’en rend moins compte…); heureusement que c’est exceptionnel cette foule (oui ?) sinon ça serait comme à Lourdes…
    Pour les parapluies, pour une fois que les gens font l’effort de faire gaffe qu’ils ont un parapluie dans les mains quand ils croisent d’autres gens… 🙂
    Bonne année à vous.

    1. Oui, oui, la foule c’est exceptionnel (compare avec mes précédentes visites, j’ai mis les liens plus hauts, elles apparaissent certainement aussi dans « Les articles suivants pourraient vous intéresser » juste au-dessus » c’est d’ailleurs pour cela que cette visite ne m’a pas autant enthousiasmé que les précédentes.

      Bonne année à toi aussi.

  2. « les foules japonaises sont moins stressantes que leurs équivalents occidentaux. »

    Hum ! Voilà une remarque qui prête à discussion. Tout dépend de ce que tu entends par « foule ». Quand je regarde tes photos, je m’aperçois que celle que tu as côtoyée était quand même du domaine du raisonnable.
    Sinon, あけましておめでとう !

    1. Il est vrai que je n’ai que peu d’expériences dans le domaine.
      Néanmoins, ne te fie pas aux photos (ou alors juste aux deux premières) les autres furent prises quand je trouvais des moments moins « denses » que les autres. Il y avait des moments où on ne pouvait simplement pas avancer…

      Maintenant, ce que j’entends par moins stressants, c’est le comportement général des gens : pas d’agressivité, personne pour gueuler, pousser, se faufiler et doubler, etc, etc.
      J’avais déjà ressenti ça à Tokyo : beaucoup plus de monde que je n’y étais habitué, mais je me sentais moins stressé que dans d’autres grandes villes. Essentiellement parce que je n’y ressentais pas l’espèce d’agressivité permanente qui peut exister dans les rues de notre chère capitale par exemple.

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