Hier, nous sommes retournés à
Ogijima, pour voir les quelques oeuvres que nous n’avions pas eu le temps de voir la première fois et aussi pour continuer à découvrir cette île qui bien que petite a vraiment énormément de choses à offrir. J’espérais aussi faire de nouvelles rencontres, il y en a bien eu une très brève, mais malheureusement l’arrivée de la pluie nous a fait rentrer à
Takamatsu plus tôt qu’originellement souhaité. Ce n’est que partie remise, plus je vais sur cette île, plus je l’aime. Cette idée farfelue que j’avais de m’y installer un jour ne cesse de me travailler au point que je me surprend de plus en plus à réfléchir à des solutions pour qu’elle soit de moins en moins farfelue, cette idée. Histoire à suivre…
Par contre, au printemps dernier, lorsque j’avais visité
Megijima, l’île soeur d’Ogijima, j’avais été assez déçu. C’est jusqu’à présent la seule île de
Seto qui m’ait fait un effet plutôt négatif. Je me disais que c’était parce que je n’avais pas dû voir l’île dans de bonnes conditions. Apparemment, les bonnes conditions tardent à arriver, parce qu’aujourd’hui c’est sous une pluie tenace que j’ai retenté ma chance et je ne suis toujours pas convaincu. Et c’est ne sont pas les oeuvres d’arts du
Festival qui ont aidé. D’ailleurs, il est assez intéressant de voir, cette visite du festival achevée, que dans l’ensemble, les oeuvres d’arts correspondent assez bien à la personnalité de chaque île. Mais, je reconnais que cela est totalement subjectif, c’est juste une drôle de coïncidence. Si je classe les îles et les oeuvres (groupées par île) par ordre de préférence, ces deux classements correspondent peu ou prou, avec en première position,
Ogijima, en deuxième
Teshima, troisième et quatrième
Shōdoshima et
Naoshima (ordre à débattre entre les deux) et en dernière position
Megijima. Nous n’avons pu nous rendre à Inu-Jima et
Ōshima est assez inclassable.
Qu’est-ce qui me posait problème avec Megi cette foisi-ci ?
Lire la suite »Megi sous la pluie