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La première fois que je vous ai parlé de Takeshi Kawashima et de ses Dream Friends, c’était à l’occasion de ma couverture du Setouchi International Art Festival 2010. En effet, à l’époque, sous cette appellation étaient regroupées deux oeuvres (You & I (Nawa) Pillar 2010 et A Shelter for Drops of Memory) ainsi qu’un café/restaurant et ça ressemblait à ceci.

Depuis, le lieu est devenu une galerie permanente (elle sera aussi ouverte pour la Setouchi Triennale 2013) et en fait, depuis la mi 2011 environ, les « Drops of Memory » ont disparu pour laisser place à d’autres oeuvres, toujours de Takeshi Kawashima. Je ne les ai découvertes qu’en mai dernier et comptais vous en parler tôt ou tard. Seulement voila, si vous vous rendez sur Ogijima ces jours-ci, vous trouverez les portes de la galerie fermées, et la raison, la voici. Ce qui y est exposé change une fois de plus (en d’autres termes, de projet pour le festival il y a deux ans, le lieu est véritablement devenu une galerie). Que pourrons-nous y voir dès la semaine prochaine ? Je ne sais pas. Mais en attendant, je tiens quand même à vous montrer ce qui était là depuis un an. Vous ne pourrez malheureusement plus le voir de vos propres yeux, mais ce blog sert aussi à ça, à garder des traces de choses éphémères (d’ailleurs, il reste encore quelques oeuvres du festival 2010, qui n’existent plus depuis presque deux ans dont je compte quand même vous parler un de ces jours).

 

En entrant, dans la cour intérieure, You & I (Nawa) Pillar 2010 de Mairyo Yagi est toujours là pour accueillir les visiteurs.

 

 

Comme je compte bien retourner sur Ogijima avant la fin de l’été, bien évidemment, je vous montrerai ce qui remplacera ces oeuvres et quoi qu’il en soit, tout cela vous donne un petit avant-goût de la Setouchi Triennale 2013 qui se prépare lentement mais sûrement.

D’ailleurs, vous avez certainement remarqué que je mentionnais la présence de la Galerie Takeshi Kawashima & Dream Friends lors de la Triennale. En effet, la liste des participants a été publiée récemment.

Si vous lisez le japonais, vous pouvez la consulter sur le site officiel. Sinon patientez un peu le temps qu’elle soit traduite en anglais (et je la retranscrirai ici en français), à moins bien sûr que vous ne souhaitiez la traduire vous même et me faire part des fruits de votre travail. 🙂

 

 

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